Dans la prolongation du 8 mars (et de leur traditionnelle vitrine dédiée) l’autrice Irene présentera son essai « La Terreur Féministe » le samedi 13 mars à 14h à la librairie de la rue en pente. Masqué-es et assis-es à distance raisonnable, la présentation sera suivie d’un échange.
« Le féminisme n’a jamais tué personne ». Cette phrase est brandie depuis des décennies par le discours féministe majoritaire. Comme si les féministes cherchaient à rassurer un patriarcat pétri d’angoisses, ou à appuyer l’idée – déjà bien répandue – qu’une femme ne peut pas faire peur, qu’une femme ne peut pas être dangereuse. Mais est-il vrai que le féminisme n’a jamais tué personne ? Elles s’appellent Maria, Noura, Judith, Diana, Christabel. Elles ont fait usage de violence contre le patriarcat. Elles ont touché au grand tabou. Pour nourrir une réflexion sur la place de la violence dans la lutte contre le patriarcat, Irene nous raconte l’histoire de ces femmes violentes.
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Dans la prolongation du 8 mars (et de leur traditionnelle vitrine dédiée) l’autrice Irene présentera son essai « La Terreur Féministe » le samedi 13 mars à 14h à la librairie de la rue en pente. Masqué-es et assis-es à distance raisonnable, la présentation sera suivie d’un échange.
« Le féminisme n’a jamais tué personne ». Cette phrase est brandie depuis des décennies par le discours féministe majoritaire. Comme si les féministes cherchaient à rassurer un patriarcat pétri d’angoisses, ou à appuyer l’idée – déjà bien répandue – qu’une femme ne peut pas faire peur, qu’une femme ne peut pas être dangereuse. Mais est-il vrai que le féminisme n’a jamais tué personne ? Elles s’appellent Maria, Noura, Judith, Diana, Christabel. Elles ont fait usage de violence contre le patriarcat. Elles ont touché au grand tabou. Pour nourrir une réflexion sur la place de la violence dans la lutte contre le patriarcat, Irene nous raconte l’histoire de ces femmes violentes.