Présentation du livre Radiations et Révolution – Capitalisme Apocalyptique et Luttes pour la vie au Japon en présence de Phil, son traducteur, et Sabu, son auteur organisé par Le Diable au Corps à Rouen.
Le lien pour participer à la présentation: https://meet.jit.si/Mushubutsu
Le sujet en question à travers le livre, c’est le capitalisme et le nucléaire à l’aune de la catastrophe de Fukushima. Il y a, dans ces évènements quelque chose de profondément accablant. Céder au réflexe de l’accablement est selon nous une manière de ne rien vouloir savoir de ce qui s’est passé et continue encore d’avoir lieu, puisqu’écrasés sous la sidération, on ne pourrait rien faire d’autre que de contempler les dégâts.Au contraire, ce qui fait la fraîcheur du livre de Sabu, c’est de relever le défi de penser à partir de cet événement, comme d’autres au milieu du XXème siècle ont relevé le défi de penser à partir des camps de concentration.Autrement dit, l’ambiance dans laquelle nous aimerions faire cette présentation/discussion du livre de Sabu est politique. La catastrophe nucléaire ne suspend pas le politique dans le sens où elle interromprait les débats au sein du parlement ou les mobilisations de rue contre la dernière offensive néolibérale du gouvernement, mais elle politise les faits et gestes les plus intimes, infimes et quotidien.
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Présentation du livre Radiations et Révolution – Capitalisme Apocalyptique et Luttes pour la vie au Japon en présence de Phil, son traducteur, et Sabu, son auteur organisé par Le Diable au Corps à Rouen.
Le lien pour participer à la présentation: https://meet.jit.si/Mushubutsu
Le sujet en question à travers le livre, c’est le capitalisme et le nucléaire à l’aune de la catastrophe de Fukushima. Il y a, dans ces évènements quelque chose de profondément accablant. Céder au réflexe de l’accablement est selon nous une manière de ne rien vouloir savoir de ce qui s’est passé et continue encore d’avoir lieu, puisqu’écrasés sous la sidération, on ne pourrait rien faire d’autre que de contempler les dégâts.Au contraire, ce qui fait la fraîcheur du livre de Sabu, c’est de relever le défi de penser à partir de cet événement, comme d’autres au milieu du XXème siècle ont relevé le défi de penser à partir des camps de concentration.Autrement dit, l’ambiance dans laquelle nous aimerions faire cette présentation/discussion du livre de Sabu est politique. La catastrophe nucléaire ne suspend pas le politique dans le sens où elle interromprait les débats au sein du parlement ou les mobilisations de rue contre la dernière offensive néolibérale du gouvernement, mais elle politise les faits et gestes les plus intimes, infimes et quotidien.