Dialogue entre le sociologue Jérôme Denis et la philosophe Jeanne Guien
Si les sciences humaines et sociales se tournent désormais vers les non humains et appellent à prendre soin du vivant, elles semblent délaisser « les choses » dont le romancier Georges Perec consignait dès 1965 la place centrale dans nos vies. Mais pourquoi l’attention aux êtres vivants devrait-elle passer par la déconsidération des objets et de celles et ceux qui s’en occupent ? Sommes-nous d’ailleurs capables de décrire les relations qu’entretiennent les humains et les choses ?
Modératrice : Julie Clarini, rédactrice en chef du services Idées de L’Obs
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Si les sciences humaines et sociales se tournent désormais vers les non humains et appellent à prendre soin du vivant, elles semblent délaisser « les choses » dont le romancier Georges Perec consignait dès 1965 la place centrale dans nos vies. Mais pourquoi l’attention aux êtres vivants devrait-elle passer par la déconsidération des objets et de celles et ceux qui s’en occupent ? Sommes-nous d’ailleurs capables de décrire les relations qu’entretiennent les humains et les choses ?
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